Bien que la voiture soit très confortable, nombreux sont ceux qui préfèrent avoir le vent dans les cheveux en roulant sur leur scooter. Les motos ont déjà l’avantage d’échapper plus facilement aux embouteillages interminables, et le gain de temps est considérable. Cependant, le scooter électrique n’est pas qu’une simple moto. Ce type de véhicule vise à protéger l’environnement, et donc profiter autant que possible de lui. Puisqu’il n’émet aucun gaz et n’utilise pas de carburant, c’est toute la planète qui en sera fière. C’est donc un belle idée, alors il est temps de penser au budget à réserver. Heureusement le blog auto se charge déjà de vous guider, mais nous débuterons ici par la présentation des différentes catégories de scooter électriques.
Type et exigences
Il existe juste deux familles de scooter électriques, la 50cc et la 125cc respectant les caractéristiques de l’article R311-1 du code de la route. La première catégorie se nomme L1e, a une puissance limitée à 4 kW. Sa vitesse s’évalue entre 6 et 45 km/h. Et si vous portez votre choix sur cette catégorie de scooter électrique équivalent 50cc, il faudra respecter certaines exigences pour la conduire. Y ont droit les individus âgés de 14 ans minimum, et seuls ceux nés après le 1er janvier 1988 devront passer le Brevet de sécurité routière (formation théorique et pratique. Les plus âgés quant à eux sont dispensés de permis.
Les scooters électriques équivalents 125cc correspondent à la seconde catégorie, la L3e. Elle regroupe des scooters plus puissants, autrement dit avec une puissance supérieure à 4kW et une vitesse supérieure largement au dessus de 45km/h. Ici le conducteur doit avoir 16 ans minimum, et un permis A1 ou permis 125. Il faut plutôt un permis A ou A2 si le scooter à utiliser dépasse la barre de 11kW. Pour ceux qui possèdent un permis B, l’équivalence avec le permis A1 bénéficient à ceux dont le permis B a été obtenu avant mars 1980. passé cette date et avec un permis B vieux de 2 ans minimum, il faudra suivre une formation.